Halo: Glory

Le hangar était surchargé. Fourmillement intense de Marines du 101eme bataillon d'infanterie de l'UNSC, les hommes courraient, hurlaient et chargeaient avec une rapidité exemplaire les caisses de munitions dans les Pélicans. Trois soldats, courraient entre les grand transport de troupes, un trans- palette roulant derrière eux. Il chargeaient d'énormes mitrailleuses sur le nez des vaisseaux. L'un d'eux, manqua de percuter un homme, qui eu juste le temps d'esquiver la charge folle.
Le lieutenant Kenneth Hammond se rétabli après son pas de côté, tandis que, continuant sa course, le soldat s'excusait rapidement. Hammond n'y pris pas garde, bien trop presser pour perdre du temps. Derrière lui, le Falcon ,qui venait de le déposer dans la base opérationnel Delta ou était implanter la 101eme, faisait mugir ses pales avec une force incroyablement forte.
Ça aller mal. Voir une flotte Covenante attaquer une planète n'était jamais une bonne nouvelle, alors Chi-BeinII.. L'une des premières planètes de ravitaillement militaire. Hammond, montant une volée de marche, n'osait repenser au voyage aérien qu'il venait de vivre. Survolant les troupes de L'UNSC prêtes au combat, alors que derrière le Falcon, deux corvette Covenantes se frayait un passage dans les nuages. Rien que de penser au centaine de vaisseau de transport, sortant avec hargne des baies d'arrimages des deux mastodontes crachant du plasma, il sentait une goutte de sueur tomber le long de son dos. La planète était perdu. Tout le monde le savait. En 11 ans de guerre, l'humanité pouvait compter sur les doigts d'une main les victoires éclatante contre les aliens.
Bien sur, tout le monde se massait derrière la victoire de Harvest, où le commandant Cole avait réussit, après 5 mois d'un admirable travaille, repousser les covenants hors du système. Mais Cole était mort maintenant. Et la victoire n'était plus possible.
Hammond ouvrit une porte, et se retrouva dans la salle de commandement de la base Delta. Le Sergent en charge du bataillon le regardait d'un air grave. Grand, chauve et le visage bardé de cicatrice, le Sergent Bronn serait les dents. Hammond sentit une incroyable gène l'envahir. Le sergent renifla bruyamment.
-Génial. On envoie une petite blondinette en renfort.
Kenneth ne releva pas. Les deux caporal présent dans la pièce échangèrent un regard sombre.
Hammond pris la parole, malgré l'immense monté de chaleur qui montait le long de sa gorge.
-Messieur, comme vous le savez... La base Delta à était choisit comme dernière ligne de défense le temps que le Colonel Mattiews ait reussit à former une flotte assez grande pour briser les troupes covenants stationné dans l'espace. Ainsi, c'est aux hommes de la 101 qu'échoie la mission de protéger l'endroit, afin de retenir les covenants.
Bronn cracha. Cela étonna Hammond, qui bien que sachant que le sous officier appréciait pas la mission, l'avait attendu moins hostile.
-Et je suppose qu'on vous envoie, superviser le travail. Vous savez aussi bien que moi que c'est une putain d'exécution que nous offre l'état major. Alors, vous avez qu'a rester la. Moi et mes gars, on se tire.
Kenneth ne s'attendait pas à cela. Il allait dire quelque chose, mais avant qu'il n'est pus parler, Bronn avait tiré son arme de service. Un Magnum PC3 capable de faire un trou de la taille d'une balle de golfe dans la peau de n'importe quoi.
-Oui lieutenant, on vous garde avec nous. On à besoin d'un vaisseau pour quitter ce putain de rocher, et vous allez venir avec nous. Vous devez savoir piloter.
Le jeune lieutenant eu un mouvement de recul, mais son dos rencontra la porte de la salle.
Non, pas la porte, la porte ne serait pas aussi dur et compact. Sans même avoir le temps de se retourner, Hammond pu voir le Sergent Bronn baissé sont arme.
L'un des caporal, une femme rousse, lâcha un ''Merde'' retentissant, et une voix grutural se fit entendre.
-Non mon Sergent, vous restez avec nous. On va danser avec les Covies. Et on ne refuse pas une danse à une dame de cette trempe.
Hammond se retourna. Et il le vit. Tout le voyage, l'homme qui se trouvait devant lui, engoncé dans une armure qui lui donnait des aire de titan, était rester silencieux. Il venait de parler, et tout le monde s'était tue. Un Spartan. Personne ne savait s'ils existaient vraiment. Ainsi, en voir un en vrais... Et bien cela devait souffler même un vétéran comme Bronn.
Le second caporal, un petit homme, dans une armure ODST standard, sont casque, barré d'une longue trace rouge, sous le bras, et un crane, riant un couteau dans la bouche, peint en blanc sur l'épaule, pris la parole:
-Un Spartan ? Rien que ça...
L'ODST, faisant tourner un long couteau dans sa main droite, regarda Hammond droit dans les yeux. Les yeux du lieutenant se perdirent dans le bleu intense de ceux du vétéran.
-Moi et mes para, on reste ''Lieut'', mais c'est pour pas laisser un peigne cul en armure de clown nous voler la vedette !
Hammond réprima un sourire. Avec les 30 Odst sous le commandement du Caporal des Parachutiste de la mort, il avait une chance de faire entendre raison à Bronn.
-Merci caporal...
-Fair.
Hammond hocha la tête, et se retourna vers le Sergent Bronn.
-Le Caporal Fair reste. Je ne vous oblige pas à le suivre, mais...

Dean, dans sont armure Spartan, riait sous cape. Il connaissait le Caporal Fair de réputation. Jack Fair, survivant de 3 batailles, sur 3 planètes différentes, il avait tuer plus de Covenant que tout les soldats de sa troupes réunit. Et ceux au couteau ou au Fusil à Pompe. Un homme à ne pas chercher au corps a corps. Ce qui se faisait de mieux chez les humains. Le Spartan tourna alors le regard. Bronn. A peine moins décorer que le caporal Fair, mais pas assez dingue pour rester sans rechigner.
Dean s'approcha un peu plus de la table.
-Sergent Bronn... Vous avez 1 000 hommes avec vous, et tous on une mission. La même, protéger la Base Delta assez longtemps pour que l'UNSC puisse réunir une flotte. C'est l'histoire de 4 jours tout au plus. Les covenants n'utiliseront pas le plasma pour vitrifier la planète, pas tant que nous seront là, devant leurs yeux à les défier. L'élite qui les commande, cette enfoirer et sans doute à l'image de toute sa race, trop fier pour nous laisser la dignité d'une mort par plasma. Non, il veut nous montrer la puissance de ses Grunts, ses Rapaces et ses Brutes ! Sont état major lui à donner l'ordre de tout raser, et comme nous connaissons les Elites, il désobéira pour avoir le plaisir de nous tuer. Et cette désobéissance est notre victoire. Si vous faites la même chose que lui, si vous partez. Vous ne valez pas mieux que lui.
Bronn baissa les yeux, et Dean Spartan-106 sut qu'il avait gagner.
-Putain » Cracha le sergent. « De tout les salopards qui pullulaient sur cette planète, il y'a fallut que ce soit moi qui doive me casser le cul à crever pour la patrie ! »
Hammond sourit.
-Non Sergent, vous êtes le seul en vie pour pouvoir crever pour la patrie.
Le rire du Caporal Fair retentit avec force.


Dean était confiant. Ils avaient, avec les Marines, étudier le terrain. Devant le hangar de l'entrée, taillé à même la montage, une grande plaine. Si les Covie voulaient rentrer, ils devraient prendre un espace confiner entre deux murs, ou chaque mettre de terrain serait un supplice à gagner. Puis après une volée de marche, un couloir exiguë qui donnait droit sur une grande salle circulaire, ou les assaillant seraient attendu par de nombreuses mitrailleuses. Ensuite, un deuxième couloir, donnait aux dortoir, qui une fois miné, deviendrait un véritable labyrinthe mortel. Un nouveau couloir emmenait alors vers la dernière salle. Remplit d'ordinateur, c'était le centre de commandement. La dernière chance de survie. Il avait discuter un peut avec les Marines... Les relevé n'était pas bon. Les troupes Covenants seraient là d'ici 3 heures. 300 000 Soldats. Des milliers de Grunts, de Rapaces et d'Élites. Tenir 4 jours serait impossible, sont entrainement de Spartan dictait à Dean de n'en parler à personne. Mais c'était un mensonge qui entraînerait la mort des 1 000 Soldats de la compagnie Delta. Hammond le savait lui aussi.
Déambulant dans les couloirs, Dean repensa à Reach, et aux entraînements qu'il avait subit là bas. Un jours, l'intelligence artificiel chargé de les entrainés à la stratégie militaire leur avait parler de ce genre de cas. Mourir certes, mais en emmenant le plus de soldat adversaire avec eux. Oui, Dean était confiant. La mort des soldats de la 101eme, et la sienne serait accompagné de celle de milliers de Covenants.
Il arriva finalement dans le hangar. Au loin, une importante masse de poussière s'élevait. 300 000.
Le sourire de Dean s'élargit. Ça craignait !