Washolder....

Chapitre 1: Roulez jeunesse.
« Au bistrot comme toujours
Il y a les beaux discours
Au poteau les pourris, les corrompus aussi »
Noir désir: Un jour en france.

Mardi matin, le commissariat central de Marseille était plein a craquer, l'été insoutenable n'avait pas stopper le flot ininterrompu de citoyens rageurs qui avaient investis l'endroit pour déposer leurs multiples plaintes, vole à la tire ou problème de voisinage, les Agents de la paix allaient devoir trimer cet après-midi.
Au milieu de ce brouhaha plaintif ce tenait un homme, assis sur un fauteuil roulant flambant neuf, un casque sur les oreilles, semblant dormir, ennuyé par les autres personnes qui se pressaient autour de lui.
C'est alors que Matilda entra dans le commissariat par la porte arrière, elle fini de boucler sa veste de service.
Elle s'approcha d'un de ses collègue, un grand noir du nom de Stephan, et lui tapa sur l'épaule.
-Alors cette garde ?
Stephan ce retourna vers elle un café à la mains l'aire dépité.
-Une horreur »Marmonna-t-il en buvant une lampé. « J'ai passé la nuit la plus longue de ma vie...
Matilda lui lança un sourire narquois, ce gaussant de sa propre nuit douce et calme. Pourtant elle dit faussement:
-Moi aussi, une nuit horrible !
Puis elle admira le peuple qui ce pressait contre le comptoir, voulant en premier poser leurs plaintes, s'en aller est oublier leurs problèmes administratif.
Elle remarqua, au milieu de la foule, un homme en fauteuil, endormi avec un casque sur les oreille.
-C'est qui l'homme en fauteuil ?
Stéphan la regarda avec un air débonnaire.
-Je sais pas...Un champion de marathon peut-être.
Il rit quelques secondes de sa blague sous les yeux effarés de Matilda.
-Mais t'es complétement con !
Elle se détourna sous les yeux étonnés de son collègue et s'approcha de l'homme.
-Monsieur ?
Il ouvrit les yeux, et la regarda. Comprenant que la jeune femme voulait lui parler, il enleva les ses écouteur.
-Oui ?
La jeune femme semblait apparemment gênée , ne sachant pas si elle devait rester debout ou s'accroupir. Elle décida de rester debout après avoir légèrement fléchi les jambes donnant l'impression d'une salutation froide est formel.
Pour ce redonner de la constance elle l'invita jusqu'à sont bureau, elle s'assit et lui demanda.
-Vous êtes la pour ?
L'homme la regarda.
-On ma...Volé mon scooteur...
Elle le regarda étonné, Stephan a quelques pas de la ne pus s'empêcher de lâcher un léger rire.
-C' est vrais ? »
L'homme la regarda puis sourit.
-Bien sur que non...Au cas ou vous l'auriez pas remarquer, je suis en fauteuil....Enfin c'est pas flagrant mais quand même...
Stephan explosa littéralement de sont rire un peu gras. Matilde fut profondément troublé, gêné et un peut triste pour l'homme, pourtant bourru.
-Bien sur excuser moi...
Il l'a regarda exaspérer, puis se retourna vers Stephan.
-Non c'est avec vous que je veut parler, j'aime pas quand on réagi pas a mes sarcasme.
Il fit pivoter son fauteuil et suivit Stephan qui ne pouvait stopper son rire.
Cependant, a mi parcours, une personne s'interposa, les bras croiser sur la poitrine et les bottes bien planter dans le sol. Matilda reconnu le commissaire Eric Rodier, se demandant pourquoi l'homme se trouvait ainsi devant un citoyen qui n'était la que pour un vol....De scooteur ou pas d'ailleurs.
-Augustus Washolder....Bah putain pour une fois que t'es a l'heure, il faut que tu fasse chier mes hommes.
L'intéresser fit de nouveau pivoter son fauteuil vers le commissaire qui avait un air de bœuf avec ses cheveux d'un roux enflammer lui donnant constamment l'air enrager.
-Ah tient donc Jacky, va falloir que tu me montre comment on bosse avec des tanches pareilles...L'autre gourdasse à crut que je venais porter plaintes pour vole de vélos et le noir barbus se moque des handicapés.
Eric leva les yeux au ciel pendant que ses deux adjoints regardaient avec effarement le trentenaire handicapé qui travestissait ainsi la vérité.
Le commissaire ne pris aucunement rigueur du regard courroucé des deux policiers et se plaça derrière l'homme en fauteuil pour le pousser.
Celui-ci contra habillement en enfonçant les freins.
D'un geste rageur, le commissaire les enleva et poussa l'homme dans son bureau sous les cris de colère de son collègue a roue.
-Mais putain lâche moi, tu te croit où...Dans un super marché ?


Augustus Washolder se retrouva donc assis devant le bureau du commissaire du commissariat central de Marseille, un aire las sur le visage après avoir hurlé un:
-RASTA ROCKET POWER !
Tonitruant qui avait pour le coup arrêter toutes les discussion, les officiers de polices présent sur les lieux se retournèrent pour voir rentrer l'improbable cortège dans le bureau.
-......Mouais pas terrible la déco....On croirais un bureau de flic.
Le regard noir de Eric lui fit comprendre que le moment n'était pas à la rigolade.
-Magnifique comme entrer !...Je leur explique comment moi maintenant que le mec louche en fauteuil c'est le nouveau procureur général affilié a ce putain de commissariat..Il est un peut timbré faites pas gaffe.
Les deux hommes se regardèrent puis Washolder finit par hocher la tête.
-Ouais comme ça c'est pas mal...Ta juste oublier de parler de mon cannibalisme...Mais ils s'en rendront compte bien vite...
Eric mis sa tête dans ses mains. L'air passablement énerver.
-Hé! Tu fait pas cette tête » l'apostropha Washolder «Je te connais depuis assez longtemps pour savoir qu'en fait tu adore me voir débarquer pour bosser avec toi.
Le regard blasé de son amis sembla conforter Washolder dans son idée.
-Bon alors...Ta quelque chose pour moi ?
Eric chercha dépiter l'un des dossier, en voyant le titre il marmonna un
-Merde.....Les enfoirer.
Le regard interrogateur de Washolder le força a continuer.
-Procès François Morris....Un tueur en série, on a rien contre lui, juste des empreintes chez une des victimes, mais il est prouvé qu'il connaissait la jeune femme.
Washolder s'empara du dossier et le parcouru. Le mec devait être un malade tant les crimes étaient horrible, il avait donner plusieurs coups de couteau à ses victimes avant de les attacher au chauffage qu'il avait régler à haute température....L'attente d'une mort certaine, et terriblement lente.
-.....Le mec aime les ambiances surchauffés.
Le regard acide de Eric lui conseilla de rester sérieux.
-Roh aller, les jurés vont être facilement gouvernable, le pauvre handicapé qui tente courageusement d'envoyer un tueur derrière les barreaux...Kitch est efficace !
-Ouais mais pas cette fois....Ta réputation te précède, les jurés seront au courant que tu n'a aucunement besoin de pitié.
Le sourire de Washolde s'effaça légèrement.
-L'avocat de la défense....C'est qui ?
Eric sembla soudain un peu stresser. N'ayant pas de réponse Washolder réitéra la question:
-Qui défend ?
-Elena...
-J'ai bien entendu ?
-Il me semble.
-Merde..Un sourd en fauteuil s'aurait été tellement fendar....
Eric regarda Washolder dans les yeux.
-Tu lui a pas reparler depuis quand ?
L'intéresser haussa les épaules.
-Je sais plus...Le remariage de ton père je crois. Je l'es engueuler,me suis soulé et j'ai vomit sur ses chaussures.
-Elle était pas inviter...Je crois que c'est sur ma grand-mère Hilda que tu a vomit.
-Ah....Une dame charmante...
Eric sourit, la vielle femme avait tenter de retrouvé le petit impertinent qui lui avait fait le pire affront de sa vie et avait assurer au père d'Eric qu'au temps ou le Grand-père Eugène était encore la cette histoire aurait fini dans le sang.
Washolder sembla réfléchir.
-Pour le proçé, on à un examen mental de l'accuser ?
Eric répondit par l'affirmative et fouilla dans ses affaires, cherchant le rapport sur son bureau bien ranger, tout étant parfaitement rangé, il dut admettre que le dossier lui avait échapper. Sans doute Luis qui l'avait récupérer.
-Heu...L'un de mes adjoint la empreinté pour l'étudier.
Washolder paru étonner.
-Ouais....Donc y'a des mecs qui rapporte des élément de l'enquête chez eux, comme ça pour le plaisir...
-Nan Luis est spécial...Il a rencontré plusieurs fois le suspect et a tenu a enquêter sur l'affaire des le début...
-Mouais...Bon bah tu lui dira de m'apporter le dossier au Bureau du procureur.
Puis Washolder commença a repartir, sur le pas de la porte il se retourna vers son ami et demanda:
-Et sinon Eléna...Tu la revue récemment ?
-Non....non, nos rapport se sont taris...
Washolder repartit rapidement,conscient que c'était par sa faute que Eléna et Eric ne s'entendait plus, mais il s'en foutait, il ne pouvait pas pardonner Elena, malgré l'amitier que Eric portait a la jeune femme.
Il entendit un dernier.
-Et n'oublie pas, le poker ce soir c'est 19 heures !
Washolder lâcha un bref:
-Prépare les chèques !



Matilda vit le trentenaire repartir, un dossier sur les genoux, elle rentra dans le bureau du commissaire après avoir toqué et demanda.
-Mais c'est qui lui ?
Le regard morose de Eric se posa sur Matilda avec un mine affreuse d'homme éreinté et marmonna lentement.
-Va être long a expliquer...Ce type est un connard, froid et puéril, mon enfoiré de meilleur amis et accessoirement le nouveau procureur responsable d'ici....
Il croisa le regard de la jeune femme...Un regard qui criait a la fois OH MERDE et AU SECOUR...


Luis regarda autour de lui, l'ascenseur bien entretenu du bureau du procureur lui donnait la légére impression d'entrer dans un monde différent. Il avait passer de nombreuses heures dans le bâtiments
avec les autres procureur, mais aujourd'hui il sentait que cela serait différent.
On sonna le 8eme étages et il sortit.
Il entra dans un bureau sur lequel un plaque disant: « Washolder » neuve était accrocher.
Il toqua, vit le panneau « ne pas toquer » et leva les yeux au ciel . Il ouvrit la porte, le dossier sous le coude.
Le bureau espacé, doté d'une baie vitrée époustouflante, avait des aires de salle de jeux, une télé plasma ou était brancher une console de jeu,une borne de flipper et un baby foot était réunis.
Devant la baie vitré, un magnifique bureau avec un fauteuil en cuir retourné vers les fenêtres.
Le bureau était surtout vide.
Luis se sentit mal a l'aise mais approcha tout de même de deux pas, c'est alors que le fauteuil du bureau se retourna, laissant apparaître Washolder les jambes croiser, un verre de Whisky à la main.
-Bonjour..Monsieur Bond.
Il y'eu un flottement de quelques secondes durant lequel le sourire éclatant de Washolder rebondit devant l'apparence inexpressive de Luis.
-Vous êtes le procureur Augustus Washolder ?
L'intéresser hocha la tête devant la froideur de Luis, le manque de réaction du jeune hommes semblait a Washolder comme un remontrance digne d'un correction.
-Ouaip c'est moi, vous devait être Luis.
Le jeune policier hocha la tête.
-Putain »marmonna Washolder « Après le moqueur et la pin-up gourdasse, voilà le débile mental avec 2 de tension....Pour mon arriver vous mettez le paquet...
-Monsieur...Moi je vous rapporte juste ça, après il faut que j'y aille.
Washolder le regarda avec un sourire sadique, ses deux substituts étant partit trouvé des chose qu'il leur avait demander, Sandra, une grande brune avait pour ordre de récupéré le permission d'une visite a la prison et Alexandre, le grand blond devait trouver un sandwich poulet/crudité.
Les présentations avaient était rapide, dans une ambiance lourde et professionnel. Washolder n'avait eu le temps de lancer que deux petites blagues, les deux substituts ne le considéraient pas encore comme un connard...Luis seraient son rattrapage.
-Non ! Restez assis s'il vous plait.
Le regard de Luis se durcit, l'impression qu'il allait passer une journée de merde qu'il avait eu en se levant le matin venait de ce matérialiser devant lui sous la forme d'un homme timbré.
-Bien...
Le jeune homme s'assit tandis que Washolder se rapprochait du bureau avec l'aide de ses bras.
-Alors...Parait que vous êtes vachement intéresser par l'affaire Morris monsieur.....
-Prima...Luis Prima.
Le regard de Washolder s'éclaira. L'arme que venait de lui donner Luis le fessait rire intérieurement, frétiller ses sens.
-Et oui je m'intéresse a l'affaire.
Le sourire de Washolder s'éclaircit:
-Ok Angelina il m'en faut plus la....Je te demande un truc...Tu me répond par oui...Tu t'attend forcément à une seconde question: Pourquoi ?
-Pourquoi quoi ?
-T'es parents sont fan de Jazz ?
-Mon père.
-M'aurait étonné. Non pourquoi tu t'intéresse a l'affaire crétin.
-Vous me tutoyer ?
-Répond.
-......Je.....Hé bien je n'en sait rien. J'ai sentit des le premier meurtre que ça n'était pas un simple crime...
-Ouais » Mamonna Washolder « On sent ce genre de truc,j'ai affaire à un malade, le type en face de moi et pas claire....Et le gros tout nu derrière moi en train de baisser mon futal n'est peu être pas la masseuse iranienne que j'ai appeler... »
Le regard de Luis resta inexpressif.
-Ouais voilà...J'ai sentie qu'il y aurait des complications...
-...On dirait que tu parle d'une césarienne..M'enfin ouais, ton truc la c'est l'instinct, un truc de flic. Je comprend pourquoi Eric à dit que t'était spécial...T'aura un sucre..Maintenant ta relu le rapport du Psy, t'en pense quoi ?
Luis le regarda.
-A quoi ça va vous servir, vous ne l'avait pas encore lu.
-Je m'en fiche, je vais rencontrer l'aut' taré, ton analyse et un légère synthèse du tout me suffira.
-Et bah..Le rapport dit que le suspect pourrait avoir le profil du tueur, a cause d'un traumatisme indéterminée...Je pense que ça pourrait avoir un rapport avec la « masseuse iranienne »....Ou avec le décé prématurée de son grand frère...Un truc qui l'aurait rendu un peut fou.
-Quelque chose qui prouverait la « masseuse » ?
-Non. Mais c'est le profil qui dit qu'il y'en a une...
-Le frangin ?
-Mort a 26 ans d'un accident domestique, il réparait un ampoule dans le garage de leurs mère veuve et l'arrosage automatique c'est declancher...Le petit François Morris a assister à la scène, il avait 12 ans.
-Mouais, mais avoir un frère qui meurt connement ne vous fait pas devenir un tueur psychopathe 21 ans plus tard...Si ?
-Le rapport dit que si...A condition qu'il y'est des signe avant coureur..
-Il y'en a ?
-Pas a nôtre connaissance...
Le regard de Washolder sembla se fixer sur un point imprécis derrière l'épaule de Luis.
-Vous pouvez disposer monsieur Prima.
Luis se leva et partit, laissant Washolder seul.
-Hé bah putain.
Il s'approcha de son bureau et pris le téléphone après avoir lancé son lecteur CD:
https://www.youtube.com/watch?v=v0ZK2AbaO_E&feature=related
Il entendit quelqu'un décrocher au bout du fil et colla le combiné contre le haut parleur.
Après quelques secondes, il approcha le combiné de sa propre oreille. La voix d'Eric retentit.
-Oui bon bah ça va..J'ai penser que tu préférerait l'apprendre par toi même...
-Ouais...Bon bah tu bosse vraiment avec une bande de dégénérer...Pour le poker de ce soir...Rassure moi y'aura qui ?
-Toi moi..Luis,Stephan Et...
Washolder coupa séchement son amis
-Non en fait j'ai dit «Rassure moi»...
Puis il raccrocha, regardant l'horizon qui se dessinait par delà les baies vitrées. Louis Prima continuant de déblatérer ses paroles. Washolder rattrapa le vers de Whisky qui lui avait servit d'ustensile pour sa blague et y trempa ses lèvres, l'air satisfait.
La soirée promettait d'être sympathique



Ceci est une pause « Marque-Page » L'auteur étant conscient de durée résolument longue du chapitre, il vous offre cette fin de chapitre, la suite du texte pouvant être au choix considérait comme un autres chapitre ou comme la suite du premier. L'arrêt de la lecture maintenant ne troublera en l'occurrence pas vôtres compréhension pratique de l'œuvre....Pour indication si vous êts ici, vous avez lu d'une traite 5 pages OpenOffice de manière rapide est précise nonobstant toute notion du temps. (Z'avez vu, j'ai reussi a placer Résolument, occurrence et Nonobstant.Pas mal non?


La salle était calme et douce, elle sentait le tabac. Un veloute de fumé s'échappait d'ailleurs du cigare que Washolder tenait entre les dents. Les cartes à la mains, il regardait Eric qui étalait une 4 eme cartes sur le tapis de jeu.
Le regard siffleur de l'handicaper jaugea Luis, le seul a être coucher.
Puis il concentra ses yeux sur Stephan et Eric.
Le commissaire lança un billet de 20 sur le tapis.
-Je suis...Si Luis c'est coucher, c'est pas Stéphan qui va me faire peur a relancé.
Washolder lança lui même un billet de 20 et ajouta.
-Ouais surtout qu'il bluff comme une gamine...Relance de 5.
Le regard de Stéphan s'éclaira.
-Je suis.
Eric tourna un regard interrogateur sur Washolder. Celui-ci répondit d'un roulement de sourcil provocateur.
-Me couche » Marmonna piteusement le commissaire avant de siffler le reste de de son verres de Scotch.
Puis le tour étant fini, il replaça une nouvelle carte, un 2 de carreau.
Luis laissa échapper la fumé de sa cigarette et regarda Stéphan.
-Laisse tomber...Ta aucune chance.
Le jeune métisse le regarda méchamment.
-Sympa...Tu pourrait avoir confiance merde !
Luis haussa les épaules.
-J'ai quand même perdu 10 euros la dernière manche...Enfin moi je dis ça...Je dis rien quoi.
La maison d'Eric se tenait sur le bord de plage à quelque pas seulement du sable, le flux et le reflux des vagues fut cependant troublé par un éclat de voix de Stéphan.
-OKAY...Je relance de 2.
Il lança la pièce sur le petit tas d'argent. Le cliquetis de ce lancer n'eu pas le temps de finir, troublé par l'arriver de la pièce Washolder.
-Alors petit....?
-Double paires monsieur.
Il dévoila un 5 et un As qui vinrent s'ajouter au 5 et a l'As déjà posé sur la table.
Washolder dévoila ses carte. Une paires de deux, qui vinrent se positionner sous le 2 Que Eric venait de dévoiler.
-Je te l'avais dit....
Le regard que porta Stephan à Luis fut particulièrement acide.
Tandis que Washolder récupérait son pécule, Eric chuchota un:
-Espèce d'enfoiré, tu ma eu avec ton regard..Mais merde ! T'avais seulement une paires a ce moment la...
Luis commença à distribuer les cartes, cependant, lorsqu'il arriva a Washolder, celui-ci leva la mains pour faire comprendre qu'il ne jouait pas.
-Dite moi les filles....Pourquoi Matilda n'est pas la ?....interdit au femmes ?
Eric se resservit un verre de scotch et proposa de resservir Washolder en pastis.
-Non, elle n'a pas fini son service...Elle nous rejoindra dans....1 heure et demi.
Il versa l'eau dans le verre de Washolder puis renifla.
-Pourquoi tu joue pas cette fois ?
-Pas envie...J'ai gagner la précédente, ca me va.
Les 3 autres se concentrèrent sur la partie en cours. Stéphan parut soudain un peu mal a l'aise, puis fini par demander.
-Vous est arriver quoi aux jambes ?
Luis le regarda d'un air entendu...Apparemment la question trainait dans l'esprit des deux hommes depuis le début de la soiré.
Eric sembla gène par la question, il tira nerveusement sur sa cigarette et regarda Washolder.
Celui-ci qui venait de piquer une saucisse d'apéro avec son cure-dent immobilisa son geste.
-Hum...Et bien....
Luis lui coupa la parole.
-Si c'est...Personnelle.. Ne vous sentez pas obliger.
-Nan nan, ça ne me dérange pas d'en parler.
Le regard de Stephan sembla triomphant lorsqu'il regarda Luis. Eric fut intriguer. Il n'avait pas vu Washolder depuis près de 2 ans, il se demandait comment il réagirait, il en avait une grande idée, connaissant le procureur depuis maintenant 21 ans...
L'handicapé essuya nerveusement sa lèvre, et Eric comprit immédiatement comment la suite des évènement allait se dérouler.
-Voilà, j'avais...18 ans, et pour payer mes étude je travaillais sur un chantier près d'Antibes. La bas, mon pick-Up a emboutie une grue...Croyait moi ou pas..La machine et son conducteur n'ont même pas ressentie le choc...Et ils on continuer d'avancer. Je suis rester dessous, la grue et passé.
Stéphan paru choquer, mais il nargua néanmoins un regard mesquin sur Luis. Il fut troublé en voyant que celui-ci ne semblait pas dépité. Le jeune Prima se retourna vers Washolder et dit:
-Vôtre histoire...C'est le bouquin Duma Key de Stephan King....
Eric regarda tour a tour Luis et Stephan. Washolder eu un petit sourire.
-Vous aviez parier combien ?
Ce fut Luis qui répondit.
-Lui et Matilda on parier 10 euros que vous répondriez...
Eric les regarda méchamment.
-Bande de salaud....
Washolder lui coupa la parole:
-Nan...Ils ont eu raison, on aurait fait pareille à une époque.
-Et vous monsieur le commissaire, vous savez pourquoi il est comme ça ?
-Oui.
Le regard de Stéphan se fit insistant.
-Bon bah ça ne le dérangera pas je pense. Il est passé sous un train en se battant avec un amis...
Stéphan leva les yeux aux ciel
-Jamel Debouzze....
Luis regarda Stephan qui lui tendis un billet de 10 euros.
La main se termina vite par une victoire de Eric.
-Facile !
Washolder leva les yeux au ciel.
-Vous jouez vraiment comme des tanches les jeunes....Moi et Eric on est largement supérieur...
Eric eu un petit rire.
-Ta rien vu la...
Washolder parut intrigé.
-Oh putain, me dit pas que la gourdasse sait jouer. !
-Si...Son père est un très grand joueur, il fait des partit privé dans un bar...Les plus grand joueur d'Europe viennent se faire plumer...Il a refilé le talent à la gamine apparemment.
-Merde les gonzesse sont au pouvoir a cette table ?
Luis lâcha un légers:
-C'est pour ça..La on en profite tant qu'elle est pas la...
Washolder rit et bue une gorgée de Pastis et répondit.
-Aller, qui pari que j'arrive à plumer le Tempax ?
Eric roula les yeux. Stéphan sauta sur l'occasion.
-10 Euros qu'elle vous met la misère.
-Non...Je pense que lui va gagner...
Luis et Stéphan se regardèrent de nouveau avec méfiance. Washolder continua sur sa lançé.
-Et toi Jacky ?
Eric le regarda longuement.
-T'y arrivera pas, est hyper doué.
Washolder haussa les épaules.
-Bon Tempax VS Grand corp malade....
La partit continua, ayant perdu près de 60 euros Stéphan arrêta de jouer, Luis réussi un ou deux exploits mais fut vite dépassé par le commissaire et le procureur qui finissait souvent tout les deux.
Soudain, alors que Washolder regardait Eric rafler la mise, la sonnerie se fit entendre.
-Entre ! » Rugit Eric en comptant rapidement ses gains.
Après un bruit de porte, Matilda entra dans la pièce et posa son blouson sur le canapé.
Stéphan servit rapidement les cartes à la table tendis que Eric proposait une boisson a Matilda.
Voyant sa main, Washolder ne pu s'empêcher de déglutir, 3 et 9 de pic...Pas terrible.
Luis sembla confiant, Eric inquiet et Matilda ne laissait rien transparaitre.
Elle n'avait rien a voir avec la jeune femme peu sur d'elle même, on la sentait dans un élément beaucoup plus familier.
Puis ayant brulé une carte, Stéphan afficha un rois de coeur, un neuf de carreau et un as de trefle.
Bon...Une paire.
Il but une gorgé de Pastis et murmura:
-Bon c'est a moi de parler ?
La tablée hocha la tête.
-Bon bah 5euros alors.
D'emblée, Luis se coucha, Matilda suivit, Eric hésita.
-Bon bah aller, je suis bordel.
Une nouvelle carte vient s'ajouter, un 6 de coeur.
Matilda pris la parole.
-Au fait Stéph, c'est qui la meuf qu'arrête pas d'appeler au bureau ?
-Ma sœur, mon père a de gros problème de dos, elle veut que je l'aide a installer une armoire, pas franchement mon kiff.
Washolder eu un petit sourire en lançant un billet de dix.
-Vôtre sœur vit toujours chez vos parents ?
Stephan hocha la tête.
-Oui...21 ans est toujours à squatté la bas.
-Vous plaigne pas, ma frangine en a 27....
Stéphan eu un petit rire, Matilda relança de dix, Eric suivit.
-Et vous Luis, un frère, une sœur... Un saxophone ?
Luis marmonna difficilement a cause du bretzel gigantesque qu'il tentait vainement de mâcher:
-Frangin...
-Je suis fille unique pour ma part.
Washolder eu un petit rire
-Bah quoi ?
-Nan mais...Fille unique, ça explique pourquoi vous êtes aussi....
-Aussi quoi ?
Eric s'interposa:
-Houla non non non ! On ne s'aventure pas dans une discussion avec Augustus s'il a déjà bus ne serait-ce qu'une goutte d'alcool !
L'intéresser leva les yeux au ciel.
-Mais j'avais pas fait exprès ! C'est dingue que tu refoute ça sur le tapis, je savais pas qu'elle avait 56 ans !
Les regards de Matilda et de Stephan se croisèrent, ne sachant pas quoi penser de la déclaration de Washolder, sentant qu'elle était la conclusion d'une histoire des plus compliqué.
Le Procureur suivit de 5 euros, et tandis que la dernière carte était bruler, il but une nouvelle gorgé de son verre et vit un troisième 9.
Un brelan. Normalement, il se serait sentit en confiance, mais face a Matilda que l'on lui disait imbattable, il avait un légers doute.
Eric avait un air sombre, Matilda restait impassible.
Washolder se dit qu'il était temps d'attaquer.
-Au fait Matilda, vous devez 10 euros à Luis.
Le regard de la jeune femme s'écarquilla devant la surprise comprenant de quoi il parlait, elle avala la gorgé de Martini de travers et toussota nerveusement. La seconde d'après elle ouvrit la bouche pour s'expliquer mais Washolder la stoppa net.
-Vous me dégouter ! Vous pensez peut-être que c'est pas assez dur comme ça, il faut en plus que mon handicap soit marginaliser au travail ?
-Monsieur excusez..
-Non ! Vous êtes BLONDE, et malgré le fait que je soit un salaud de la pire espèce, j'ai au moins la décence d'esprit de ne pas me moquez du physique ! Ni de vôtre blondeur, ni de la couleur de peau de Stéphan ni des origines latino de Louis Martinez !
-Prima..
-Pourquoi pas le physique me demanderez vous ? CAR ON Y PEUT RIEN ! RODRIGUEZ NE PEUT PAS FAIRE UNE ABLATION DE LA CONNERIE LATINE, STEPHAN NE PEUT PAS FAIRE UNE WHITOGRAPHIE....Et la couleur ne vous irait pas. Voilà Moi madame, j'ai des limites...Bien sur ça passe au dessus de madame la précieuse, rappelez vous le jour de vos 11 ans lorsque papa et maman vous on offert un jolie chien nommé Brenda, je suppute que vous avez été contente ?...Eh bien vôtre chiot était moche ! Oui ma m'zelle je suis un monstre....Crétine !
Le silence retomba peu à peu dans la pièce, Matilda, n'avait pas bouger, prenant de plein fouet la rage de Washolder, la tête baissé, endurant la remontrance immobile.
Stephan, une poignée de bretzel dans la mains avait le regard tétaniser, semblant choquer par la crise soudaine de Washolder.
Luis regardait tour a tour Eric et Matilda, la bouche légèrement ouverte, il parvint à déglutir un légers:
-Prima...Pas Rodriguez.....Prima.
Eric avait poser sa tête entre ses mains, comprenant des la première phrase de Washolder le long sermon qui allait suivre.
Matilda hoqueta légèrement, posa doucement ses cartes,et fondit en larme, elle réussit à pleurnicher un:
-Me couche !
Avant de courir jusqu'au toilette pour s'y enfermer. Washolder regarda la table avec un air suffisant:
-Bah vous voyez, j'ai gagner finalement.
Stéphan sembla dépité lorsqu'il tendit les billets.
-Putain....Juste pour qu'elle se couche...Merde vous êtes un gros taré !
Empochant l'argent, Washolder lança un regard inquisiteur à Eric qui donnait un billet à Luis.
-Pourquoi t'être bouché les oreilles ?
Le regard condescendant d'Eric resta en suspens quelques seconde, il finit par lever les yeux a ciel.
-Le traitement spécial de quand on était gosse, CM2, Pierre Marloin.....10 minutes a lui hurler que même un aveugle aurait vu venir la balle...On à du arrêter le match, il est tomber en dépression....
-Ah Pierre......Ce mec était une bille au football.
On entendit un bruit de chasse d'eau, puis quelques secondes plus tard, Matilda ressortit des toilettes. Washolder sauta sur l'occasion.
-Je m'excuse, oh sainte majesté des mouches , rien de ce que j'ai dit n'était penser. Je m'excuse, !
Matilda le regarda, un regard triste, elle s'approcha de la table, et se rassis, n'osant pas regarder Washolder.
La partit se continua, une ambiance un peut bizarre au début qui s'améliora tout au long de la soirée.
Après leur départ, Matilda et Luis se regardèrent quelques secondes, puis il murmura un:
-T'es sur que ça va ?
Elle hôcha la tête, toujours troublé par la remontrance de Washolder.







-Allo ?....Allo ? Qui est ?
Eric regarda quelques secondes son portable, ne sachant pas s'il devait parler ou pas. Il avait composé le numéro de Ellena avec la ferme intention de lui parler, mais devant le fait accomplie, il douta de sa foi en ce qu'il fessait. Il dégluti, puis approcha le combiné de sa bouche.
-Ellena ?....C'est Eric...Bah tu m'avait dit te t'appeler quand il serait là....Il est là....Oui il va bien...Et oui il est au courant pour ton rôle dans l'affaire..Il...Vas voire le suspect demain...Oui...Non, il à absolument évité toute allusion à toi...




Oui 10 pages...pardon ?

Tellement c'était long, je l'ai lue en plusieures fois :p
Il y a des petites fautes à cdeertains endroits et certaines tournures de phrases à revoir, mais dans l'ensemble c'est pas mal du tout

Ouais..Le chapitre 2 sera moins long....Promis ! (Ou pas )